Deux textes poétiques ...
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Deux textes poétiques ...
Texte 1
J’ai envie d’écrire … sur le pouvoir du verbe.
Un mot, associé à un autre, puis à autre, peuvent avoir un pouvoir considérable.
Il faut apprendre les mots, car ils peuvent faire très mal. Ce n’est pas tant le son mais bien plutôt ce qu’ils cachent, qui peut, qui fait mal.
Un même mot peut renfermer tout les sens possible.
J’ai eu haï les mots, car je n’en connaissais pas leur valeur.
Lire et différent qu’entendre.
Il faut apprendre à lire.
Lire, c’est d’abord déposséder le mot de son sens.
Lire, c’est savoir le lui rendre.
Das is das lieben.
Je me branle sous ma tante.
J’écris dans mon lit, avec mon stylo, un critérium jaune et bleu.
Et je sors la tête, pour y voir plus clair, pour écrire plus confortablement.
Un téton à l’air,
Matant mon cône vert,
Et les drapés sont magnifiques.
Je fais l’amour.
Avec une page de petit carnet à carreaux.
Je joue aux cartes,
J’ai misé mon âme.
Sœur que tu es
Je t’aime.
Je ne fais que décrire mon environnement.
Je danse au milieu des gens
Avec ma bière, une 50 cl.
Dieu n’existe pas.
Texte 2
J’écoute le chant du sac plastique roulant dans la rue.
J’entends le grondement d’un moteur, d’une voiture dans la rue.
La porte s’ouvre.
J’entends les pas de quelqu’un.
Un pigeon se pose, ne roucoule pas. Que fais-je là ?
J’attends. Le cul posé par terre qu’une jeune fille répondant d’un doux nom daigne se présenter à moi.
Et me dise bonjour, comment tu vas.
Elle est, d’après ce que l’on m’a dit, partie acheter de la vodka.
M’en offrira t-elle un verre ? Non.
Et le pigeon s’envole.
Et vole le bitume, désagrège toi.
Et vole la mouche, toi qui sur mon genou s’est posée.
Tu me chatouilles, la sensation d’une mouche se frayant un chemin dans ma jungle de poil est agréable, ça chatouille, ni plus ni moins.
Ca grince, mes dents grimacent d’impatience, de toi.
J’ai envie d’écrire … sur le pouvoir du verbe.
Un mot, associé à un autre, puis à autre, peuvent avoir un pouvoir considérable.
Il faut apprendre les mots, car ils peuvent faire très mal. Ce n’est pas tant le son mais bien plutôt ce qu’ils cachent, qui peut, qui fait mal.
Un même mot peut renfermer tout les sens possible.
J’ai eu haï les mots, car je n’en connaissais pas leur valeur.
Lire et différent qu’entendre.
Il faut apprendre à lire.
Lire, c’est d’abord déposséder le mot de son sens.
Lire, c’est savoir le lui rendre.
Das is das lieben.
Je me branle sous ma tante.
J’écris dans mon lit, avec mon stylo, un critérium jaune et bleu.
Et je sors la tête, pour y voir plus clair, pour écrire plus confortablement.
Un téton à l’air,
Matant mon cône vert,
Et les drapés sont magnifiques.
Je fais l’amour.
Avec une page de petit carnet à carreaux.
Je joue aux cartes,
J’ai misé mon âme.
Sœur que tu es
Je t’aime.
Je ne fais que décrire mon environnement.
Je danse au milieu des gens
Avec ma bière, une 50 cl.
Dieu n’existe pas.
Texte 2
J’écoute le chant du sac plastique roulant dans la rue.
J’entends le grondement d’un moteur, d’une voiture dans la rue.
La porte s’ouvre.
J’entends les pas de quelqu’un.
Un pigeon se pose, ne roucoule pas. Que fais-je là ?
J’attends. Le cul posé par terre qu’une jeune fille répondant d’un doux nom daigne se présenter à moi.
Et me dise bonjour, comment tu vas.
Elle est, d’après ce que l’on m’a dit, partie acheter de la vodka.
M’en offrira t-elle un verre ? Non.
Et le pigeon s’envole.
Et vole le bitume, désagrège toi.
Et vole la mouche, toi qui sur mon genou s’est posée.
Tu me chatouilles, la sensation d’une mouche se frayant un chemin dans ma jungle de poil est agréable, ça chatouille, ni plus ni moins.
Ca grince, mes dents grimacent d’impatience, de toi.
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